




Le Bartos très attaché à la notion de pont, le passage d’une rive à l’autre dans la richesse et la pluralité de toutes les expressions, apprécie la terminologie des Grandes traversées qui qualifie ces manifestations depuis 7 ans.
Année 007, pas besoin de gadget ou d’espion en sévice secret au nom de sa majesté la souche, pour parvenir à obtenir des infos à foison de bouche à orteil.
Pas non plus besoin d’une bouteille à la mer qui remonterait l’estuaire.
Chapeau la qualité éditoriale, la mise en page et les images du « LEGT, journal aléatoire Des grandes traversées ». J’ai entre les mains le numéro du samedi 17 novembre et j’ai très envie de lire les autres numéros et ceux des années passées et particulièrement ceux consacrés à l’Allemagne autour de Sacha Waltz.
J’aime la verve de Jean-Pierre Lecourt pas à court d’idées. Je partage entièrement son point de vue lorsqu’il brosse le portrait d’une époque pas vraiment formidable du fascisme ordinaire qui règne sur la servitude volontaire à l’ordre et la norme du grand commerce : « Mon meilleur ennemi (le film) nous montre, faits incontestables et analyses précises à l’appui, qu’il y a trois moyens d’empêcher les peuples d’exercer leur liberté : la division des opposants, la manipulation de l’information et la torture. Je me demande si, aujourd’hui les artistes, conscients de leurs responsabilités, ne sont pas les derniers à entretenir, dans la nuit et le brouillard de l’ordre proclamé, l’étincelle sur laquelle les citoyens finiront bien par souffler, pour inventer enfin, en toute liberté, une société respectueuse de l’égalité et de la solidarité »
A méditer activement…..dans l’action….
Cette analyse pertinente démontre à notre époque et à d’autres époques le rôle que les artistes et les intellectuels jouent ou ont joué dans ce concerto du morbide et de l’oriflamme, ou au contraire dans l’essence des consciences. Dans la première catégorie on trouve les danseurs Rudolf von Laban et Mary Wygman. Ces inventifs chorégraphes des années 20 et 30 en Allemagne se sont vautrés pour créer en toute impunité et en connaissance de cause avec la bénédiction du régime nazi ignare en matière de danse moderne*.
Année 007, pas besoin de gadget ou d’espion en sévice secret au nom de sa majesté la souche, pour parvenir à obtenir des infos à foison de bouche à orteil.
Pas non plus besoin d’une bouteille à la mer qui remonterait l’estuaire.
Chapeau la qualité éditoriale, la mise en page et les images du « LEGT, journal aléatoire Des grandes traversées ». J’ai entre les mains le numéro du samedi 17 novembre et j’ai très envie de lire les autres numéros et ceux des années passées et particulièrement ceux consacrés à l’Allemagne autour de Sacha Waltz.
J’aime la verve de Jean-Pierre Lecourt pas à court d’idées. Je partage entièrement son point de vue lorsqu’il brosse le portrait d’une époque pas vraiment formidable du fascisme ordinaire qui règne sur la servitude volontaire à l’ordre et la norme du grand commerce : « Mon meilleur ennemi (le film) nous montre, faits incontestables et analyses précises à l’appui, qu’il y a trois moyens d’empêcher les peuples d’exercer leur liberté : la division des opposants, la manipulation de l’information et la torture. Je me demande si, aujourd’hui les artistes, conscients de leurs responsabilités, ne sont pas les derniers à entretenir, dans la nuit et le brouillard de l’ordre proclamé, l’étincelle sur laquelle les citoyens finiront bien par souffler, pour inventer enfin, en toute liberté, une société respectueuse de l’égalité et de la solidarité »
A méditer activement…..dans l’action….
Cette analyse pertinente démontre à notre époque et à d’autres époques le rôle que les artistes et les intellectuels jouent ou ont joué dans ce concerto du morbide et de l’oriflamme, ou au contraire dans l’essence des consciences. Dans la première catégorie on trouve les danseurs Rudolf von Laban et Mary Wygman. Ces inventifs chorégraphes des années 20 et 30 en Allemagne se sont vautrés pour créer en toute impunité et en connaissance de cause avec la bénédiction du régime nazi ignare en matière de danse moderne*.
On trouve dans LEGT, concernant l’Islande île d’Erna, des textes qui nous informent sur les arts plastique, les loisirs, les sagas de ce pays qui conte il était une fois le plus grand nombre de lectrices et lecteurs et donc forcément d’écrivaines et écrivains par habitant. Les conseils de lecture pour aller plus loin complètent ce panorama. De plus, il donne aussi la parole aux lycéennes et lycéens et une interview de Damien Jarlet artiste complet.
La presse locale a pondu quelques papiers et surtout surtout, Les grandes traversées s’inscrivent dans le Novart de Bordeaux (arts plastiques / photographie / musiques / danses / théâtre / au mois de novembre.
Outre les excellentes Grandes traversées, le Franckos a listé le jazz gascon d’Uzeste manifeste de Monsieur Bernard Lubat et son « Vive l’Amusique » déjà chroniqué sur mon blog et dont le Bartos a apposé l’affiche dans ses chiottes à Brie du fromage
Comme quoi, qui a dit qu’il ne passait rien en province, que je lui évince les intestins !
Les journalistes de France Culte assis bien confortablement dans leurs studios de la Maison de Radio France attrapent des durillons et les croquent aux petits oignons.
Avec le Bartos, on ne se rendait pas compte autrefois que cette radio à vision culturelle ne jactait que les évènements parigos. Depuis que l’on s’est installé en Gironde, O joie, on gerbe en cœur sur la main le parisianisme et ses isthmes d’une autre géographie qui ne nous intéressent et ne nous concernent plus.
* Laure Guibert in « Danser avec le IIIème Reich. Les danseurs modernes sous le nazisme » ed Complexe, démontre les mécanismes de l’inconscience politique et historique ou tout simplement l’esprit carriériste de certains artistes.
La presse locale a pondu quelques papiers et surtout surtout, Les grandes traversées s’inscrivent dans le Novart de Bordeaux (arts plastiques / photographie / musiques / danses / théâtre / au mois de novembre.
Outre les excellentes Grandes traversées, le Franckos a listé le jazz gascon d’Uzeste manifeste de Monsieur Bernard Lubat et son « Vive l’Amusique » déjà chroniqué sur mon blog et dont le Bartos a apposé l’affiche dans ses chiottes à Brie du fromage
Comme quoi, qui a dit qu’il ne passait rien en province, que je lui évince les intestins !
Les journalistes de France Culte assis bien confortablement dans leurs studios de la Maison de Radio France attrapent des durillons et les croquent aux petits oignons.
Avec le Bartos, on ne se rendait pas compte autrefois que cette radio à vision culturelle ne jactait que les évènements parigos. Depuis que l’on s’est installé en Gironde, O joie, on gerbe en cœur sur la main le parisianisme et ses isthmes d’une autre géographie qui ne nous intéressent et ne nous concernent plus.
* Laure Guibert in « Danser avec le IIIème Reich. Les danseurs modernes sous le nazisme » ed Complexe, démontre les mécanismes de l’inconscience politique et historique ou tout simplement l’esprit carriériste de certains artistes.
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