
CHIASSE :
En automne, on peut lire dans un journal local girondin « Le comptage des palombes » à différents lieux du département sous les rubriques suivantes : météo du jour / nombre de vols / estimation d’oiseaux / cumul saison.
Vous imaginez des zigues et des ziguettes qui plombent leur regard à la jumelle pour ajuster leur proie, le viseur en chien de fusil.
Aucune chance de survie n’est laissée à mes amis les zoziaux immigrateurs réduits à de la bouillie, du plomb dans l’aile pour charger des tubes digestifs qui ont déchargé leur bile faute de tirer à douille rabattue sur bobonne ou bonbon. Les caves, ces frustrés !
Des sangliers saccagent le golf de Lacanau. Puisque celui-ci n’est pas fermé à clé, mes amis s’en donnent du groin à foison. Vous imaginez, ils ne se munissent pas de grolles à talon aiguille pour venir se coutrouiller* à l’aise et piétiner de leur dextérité les greens. C’est un scandale.
Continuez mes aminches à creuser de votre empreinte le territoire que les humanos vous ont volé.
* se coutrouiller : terme du patois ardennais qui signifie se rouler par terre avec plaisir, du style un canasson qui se gratte le dos les quatre fers en l’air avec en dessous un couillon ou une couillonne qui perd son souffle et crie à l’esbroufe.
Bégadan : Les règles de la battue »
Le 2 décembre devait avoir lieu un rendez-vous du carnage par des carnassiers au gosier humé.
« Le chasseur ayant tué un chevreuil sera mis à contribution pour le vider et le découper. Le partage sera fait équitablement par le responsable de la chasse en fonction du nombre de participants. (…) Il est rappelé que la chasse en battue doit rester un moment de convivialité, de plaisir partagé. »
Faut qu’ça saigne !!! pas vrai mon cher Boris !
Vous pensez bien, l’info passant le jeudi précédent, pas conne dès le samedi 1er décembre, j’ai été conduite par le Franckos solidaire des animaux, afin de prévenir mes amis les chevreuil de se tenir planqués à couvert, dès fois que des méchants kakis cacas pointent leur bout de zob au fusil. Je me suis concentré très fort pour qu’il pleuve, car « En périodes d’intempéries ou d’inondations les battues sont suspendues ».
Imaginez la déception des tueurs nés, ils ont été contraints de diriger leur haine de l’espèce animale contre leur prochaine ou prochain. Scène ménagère en Gironde, je me gondole les guiboles, peu chère ma chaire.
DANSE SUR LE CADAVRE DE LA CHAUDE BISE
Les radios nous ont rabattu les oreilles et fêté le tiroir caisse anniversaire de la disparition de Barbara, il y a une décennie.
Je ne participe à aucune commémoration aux monuments aux mort(e)s. Même pour celle de la belle dame brune au duo émouvant avec le métèque grecque.
Comme disent les artistes, « Le spectacle continue ». A croire que de nos jours la chanson franchouillarde se canarde la médiocrité commercialisée. Ce que je veux bien penser quand je constate avec quelles difficultés l’ami Ramon Pipin a sorti le dernier opus des Au Bonheur des Dames et son premier coffret : Odeurs 1979 / 1983.
On vit une époque formidable. Pas vrai ?
VROUM VROUM
Dom Pucerot, (secrétaire à la sécurité routière) et accessoirement élu des Charentaises a dit : « La remontée des files n’est pas un moyen normal de circulation ». (Moto magazine n°243, décembre 2007 / janvier 2008)
Le Bartos qui roule moto s’insurge. Les bouchons routiers c’est fait pour les caisses. Cela permet de se tirer à la bourre ses poils du nez et les comparer avec ceux de sa voisine ou de son voisin d’à coté et faire des concours de tresse trois plombes plus tard une fois rentré à la casba. L’avantage en ville de la tomo justement, n’est-il pas de pouvoir se faufiler entre les files à allure modérée, comme il se doit, d’autant que ce n’est pas considéré comme une infraction au code de bonne conduite. Mais l’Etat dans ses excès de générosité aligne sans vergogne celles et ceux qui se défilent du troupeau, selon l’argumentaire bien rodé de vitesse excessive et dépassement par la droite….
A droite toute compagnes motardes et compagnons motards, votez pour la répression au lieu de la pédagogie du partage de la route entre tous les usagers dans un esprit de responsabilité et de respect mutuel.
Appel de phare toujours et solidarité motarde, pour ce qu’il en reste grommelle le Franckos qui use de la gomme au bitume sur deux roues depuis plus de deux décennies.
TOUT SHUSS…
Trop drôle. J’ignorai l’existence d’un quelconque domaine skiable au pays plat de Gironde. J’en connais qui se sont vautrés l’existence en dévalant une pente raide de la dune du Pilat. La luge a fini sa course folle et embrassé les bras ouverts de la forêt.
BON DEBARRAS
Bob Bénard a jeté son froc kaki aux pissenlits. Celui qui se rêvait chef d’état par contumace aux Comores, le mercenaire est mort dans un lit à la clinique de Pontault-Combault, un nom invitation au voyage dans ce style là qui chie à l’oreille aussitôt qu’il est dit. Pépère a rangé ses petites affaires. Ce vampire africain, qu’un sang impur abreuvait à son arme de pointe, va tirer au flanc contre les astibloches qui n’ont pas la pétoche de dévorer tout cru leur proie au cimetière de Grayan-et-l’Hôpital. Direct du producteur au consommateur et sans intermédiaire, en quelque sorte.
« Au suivant » comme qui dirait grand Jacques depuis le bordel ambulant en campagne.
VRP
Notre joyeux voyageur de commerce international et grand inquisiteur du grenaille de l’envie ronronnement, en la personne du syndrome de Sarko, a réussi la prouesse de refourguer sa camelote nucléaire OPR et sévices compris.
Les voyages forment la jeunesse en Libye, Maroc, Chine, Algérie… à la bonne franquette.
Trop drôle, son alibi de la Libye et du Maroc, pays frisquets qui manquent sensiblement d’eau à la haute saison vont désaliniser sa mer au nucléaire. L’énergie solaire tire une tronche de cancre las.
QUE LA FETE COMMENCE …
Entendu sur les ondes de France Culte, le jeudi 29 novembre en direct chez Jean Leblond : la Choucroute rie de ce cher Roger Sifier à Strasbourg, cabaret tempête bilingue franchouillard / alsacien renoue avec la verve et le mordant virulent du Cabaret Noéopathétique du Berlin fraternel avant la boucherie de 14 / 18.
Longue vie à ce lieu vivant du verbe et du rythme musical.
LE TORCHON BRÛLE !
Le quotidien Sud-Ouest, pâle copie sur les ondes de Radio bleu Gironde, c’est à qui copie et copine l’autre. Si bien que la manif anti Gaspard du 24 novembre à Bordeaux a été presque occultée !!!!!!!
La Vie au Soleil n’a pas passé dans son dernier numéro le compte-rendu écrit par le Bartos concernant la conférence de Céline Beaudet au Ventous cet été 2008. Voir à ce sujet mon papier sur ma polémique Victor avec le prédateur en chef de cette revue.
Mes veinard(e)s, retrouvez Céline sur mon blog et mon papier non censuré et dans son intégralité. A croire, une fois encore que les idées généreuses et constructives des anars de la Belle Epoque comptent pour du beurre rance chez les ignares et les obtus de la cervelle qui résonne comme une crécelle.
C’est aussi et surtout une fois de plus l’expression d’un manque de respect chronique envers le travail conséquent de qualité de Céline Beaudet et des empêcheuses et empêcheurs de penser et d’agir en rond, qui veulent « Dire le naturisme » autrement.
Bonjour l’esprit ouvert des naturistes et leur liberté d’expression sur tous les tons. On vous écriera….
En automne, on peut lire dans un journal local girondin « Le comptage des palombes » à différents lieux du département sous les rubriques suivantes : météo du jour / nombre de vols / estimation d’oiseaux / cumul saison.
Vous imaginez des zigues et des ziguettes qui plombent leur regard à la jumelle pour ajuster leur proie, le viseur en chien de fusil.
Aucune chance de survie n’est laissée à mes amis les zoziaux immigrateurs réduits à de la bouillie, du plomb dans l’aile pour charger des tubes digestifs qui ont déchargé leur bile faute de tirer à douille rabattue sur bobonne ou bonbon. Les caves, ces frustrés !
Des sangliers saccagent le golf de Lacanau. Puisque celui-ci n’est pas fermé à clé, mes amis s’en donnent du groin à foison. Vous imaginez, ils ne se munissent pas de grolles à talon aiguille pour venir se coutrouiller* à l’aise et piétiner de leur dextérité les greens. C’est un scandale.
Continuez mes aminches à creuser de votre empreinte le territoire que les humanos vous ont volé.
* se coutrouiller : terme du patois ardennais qui signifie se rouler par terre avec plaisir, du style un canasson qui se gratte le dos les quatre fers en l’air avec en dessous un couillon ou une couillonne qui perd son souffle et crie à l’esbroufe.
Bégadan : Les règles de la battue »
Le 2 décembre devait avoir lieu un rendez-vous du carnage par des carnassiers au gosier humé.
« Le chasseur ayant tué un chevreuil sera mis à contribution pour le vider et le découper. Le partage sera fait équitablement par le responsable de la chasse en fonction du nombre de participants. (…) Il est rappelé que la chasse en battue doit rester un moment de convivialité, de plaisir partagé. »
Faut qu’ça saigne !!! pas vrai mon cher Boris !
Vous pensez bien, l’info passant le jeudi précédent, pas conne dès le samedi 1er décembre, j’ai été conduite par le Franckos solidaire des animaux, afin de prévenir mes amis les chevreuil de se tenir planqués à couvert, dès fois que des méchants kakis cacas pointent leur bout de zob au fusil. Je me suis concentré très fort pour qu’il pleuve, car « En périodes d’intempéries ou d’inondations les battues sont suspendues ».
Imaginez la déception des tueurs nés, ils ont été contraints de diriger leur haine de l’espèce animale contre leur prochaine ou prochain. Scène ménagère en Gironde, je me gondole les guiboles, peu chère ma chaire.
DANSE SUR LE CADAVRE DE LA CHAUDE BISE
Les radios nous ont rabattu les oreilles et fêté le tiroir caisse anniversaire de la disparition de Barbara, il y a une décennie.
Je ne participe à aucune commémoration aux monuments aux mort(e)s. Même pour celle de la belle dame brune au duo émouvant avec le métèque grecque.
Comme disent les artistes, « Le spectacle continue ». A croire que de nos jours la chanson franchouillarde se canarde la médiocrité commercialisée. Ce que je veux bien penser quand je constate avec quelles difficultés l’ami Ramon Pipin a sorti le dernier opus des Au Bonheur des Dames et son premier coffret : Odeurs 1979 / 1983.
On vit une époque formidable. Pas vrai ?
VROUM VROUM
Dom Pucerot, (secrétaire à la sécurité routière) et accessoirement élu des Charentaises a dit : « La remontée des files n’est pas un moyen normal de circulation ». (Moto magazine n°243, décembre 2007 / janvier 2008)
Le Bartos qui roule moto s’insurge. Les bouchons routiers c’est fait pour les caisses. Cela permet de se tirer à la bourre ses poils du nez et les comparer avec ceux de sa voisine ou de son voisin d’à coté et faire des concours de tresse trois plombes plus tard une fois rentré à la casba. L’avantage en ville de la tomo justement, n’est-il pas de pouvoir se faufiler entre les files à allure modérée, comme il se doit, d’autant que ce n’est pas considéré comme une infraction au code de bonne conduite. Mais l’Etat dans ses excès de générosité aligne sans vergogne celles et ceux qui se défilent du troupeau, selon l’argumentaire bien rodé de vitesse excessive et dépassement par la droite….
A droite toute compagnes motardes et compagnons motards, votez pour la répression au lieu de la pédagogie du partage de la route entre tous les usagers dans un esprit de responsabilité et de respect mutuel.
Appel de phare toujours et solidarité motarde, pour ce qu’il en reste grommelle le Franckos qui use de la gomme au bitume sur deux roues depuis plus de deux décennies.
TOUT SHUSS…
Trop drôle. J’ignorai l’existence d’un quelconque domaine skiable au pays plat de Gironde. J’en connais qui se sont vautrés l’existence en dévalant une pente raide de la dune du Pilat. La luge a fini sa course folle et embrassé les bras ouverts de la forêt.
BON DEBARRAS
Bob Bénard a jeté son froc kaki aux pissenlits. Celui qui se rêvait chef d’état par contumace aux Comores, le mercenaire est mort dans un lit à la clinique de Pontault-Combault, un nom invitation au voyage dans ce style là qui chie à l’oreille aussitôt qu’il est dit. Pépère a rangé ses petites affaires. Ce vampire africain, qu’un sang impur abreuvait à son arme de pointe, va tirer au flanc contre les astibloches qui n’ont pas la pétoche de dévorer tout cru leur proie au cimetière de Grayan-et-l’Hôpital. Direct du producteur au consommateur et sans intermédiaire, en quelque sorte.
« Au suivant » comme qui dirait grand Jacques depuis le bordel ambulant en campagne.
VRP
Notre joyeux voyageur de commerce international et grand inquisiteur du grenaille de l’envie ronronnement, en la personne du syndrome de Sarko, a réussi la prouesse de refourguer sa camelote nucléaire OPR et sévices compris.
Les voyages forment la jeunesse en Libye, Maroc, Chine, Algérie… à la bonne franquette.
Trop drôle, son alibi de la Libye et du Maroc, pays frisquets qui manquent sensiblement d’eau à la haute saison vont désaliniser sa mer au nucléaire. L’énergie solaire tire une tronche de cancre las.
QUE LA FETE COMMENCE …
Entendu sur les ondes de France Culte, le jeudi 29 novembre en direct chez Jean Leblond : la Choucroute rie de ce cher Roger Sifier à Strasbourg, cabaret tempête bilingue franchouillard / alsacien renoue avec la verve et le mordant virulent du Cabaret Noéopathétique du Berlin fraternel avant la boucherie de 14 / 18.
Longue vie à ce lieu vivant du verbe et du rythme musical.
LE TORCHON BRÛLE !
Le quotidien Sud-Ouest, pâle copie sur les ondes de Radio bleu Gironde, c’est à qui copie et copine l’autre. Si bien que la manif anti Gaspard du 24 novembre à Bordeaux a été presque occultée !!!!!!!
La Vie au Soleil n’a pas passé dans son dernier numéro le compte-rendu écrit par le Bartos concernant la conférence de Céline Beaudet au Ventous cet été 2008. Voir à ce sujet mon papier sur ma polémique Victor avec le prédateur en chef de cette revue.
Mes veinard(e)s, retrouvez Céline sur mon blog et mon papier non censuré et dans son intégralité. A croire, une fois encore que les idées généreuses et constructives des anars de la Belle Epoque comptent pour du beurre rance chez les ignares et les obtus de la cervelle qui résonne comme une crécelle.
C’est aussi et surtout une fois de plus l’expression d’un manque de respect chronique envers le travail conséquent de qualité de Céline Beaudet et des empêcheuses et empêcheurs de penser et d’agir en rond, qui veulent « Dire le naturisme » autrement.
Bonjour l’esprit ouvert des naturistes et leur liberté d’expression sur tous les tons. On vous écriera….
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