Encore et toujours le plan B, numéro 7 qui est paru sous peu et dont je me régale et réclame leurs analyses. J’offre ma bise la plus smac à toute l’équipe depuis le temps que je les lis jamais déçue.
Parlons un peu de Ségogo version Au Bonheur des Dames opus Métal Moumoute (2006), ou plus généralement de sa sœur qui porte les jumelles dans les affaires sont toujours à faire, par le truchement d’une certaine Ségolène Royal qualifiée de Sarcosette par le plan B.
Bonne lecture de l’article du Plan B paru en page 9 du numéro 7 que je vous cite du bon pied, histoire d’en savoir toujours plus sur les crapsules qui veulent gouverner vos destinées fraternelles et solidaires. Alors que ces gueuses et ces gueux des politicardes et politicards rompu(e)s aux jeux des massacres et des mépris à peine affichés, se tournent trois fois la langue dans les palais des bourses pleines avant de vous embobiner.
Décapsulons avec le Plan B, les propos de Sarcosette… cette gagneuse, cette abonnée au pourvoir du pouvoir depuis que Fred Romano dans son fabuleux « Le film pornographique le moins cher du monde » en compagnie du regretté Coluche nous, décrivait déjà une jeune Ségolène aux dents acérées. Voir ma chronique concernant ce roman grandiose sur mon blog…
« Socialisme moderne »
« Dans un éditorial barbichu de Libération (15.03.07), Laurent Joffrin tempête : Ségolène Royal a dû son succès initial à cette capacité à surprendre, à dérouter, à sortir des sentiers battus du socialisme ancien. Depuis qu’elle a semblé y retourner, son discours est affadi par un message brouillé.
Message reçu par la candidate socialiste. Deux jours plus tard sur le plateau de France Europe Express (France 3), Sarcosette détaille son programme « socialiste ».
- Je crois qu’à l’école, il faut apprendre à entreprendre. (…) Je veux réconcilier la France avec les entreprises, très clairement. Il faut aider les entreprises, mais pas celles qui rémunèrent leurs actionnaires moins que leurs salariés.
Le lapsus (?) n’a pas inquiété « l’association des amis de Ségolène Royal » présidé pas Pierre Bergé (ex PDG de Yves Saint-Laurent) et qui compte parmi ses membres Denis Olivennes (PDG de la Fnac), Matthieu Pigasse (Lazard) et l’avocat Jean-Pierre Mignard. Tous désireux de réconcilier les ouvriers avec la gauche ? »
Les enseignants gnans gnans n’ont qu’à se le ternir pour dit, la privatisation de l’école de la République déjà en marche au pas cadencé sera avancée sur le plateau des grands argentiers et portée de main de maîtresse, par leur sainte patronne Sarcosette ! Ce sera au chapitre des nouveaux programmes des instructions officielles de l’an…
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