
Le Bartos s’est radiné à la casba avec un magazine. Il avait un sourire affriolant. Mauvais singe mes potos les bonobos, il allait se mirer à tronche caribou.
Il m’a fichu sous le pif l’article du Guy Mariol à propos de Raymond Pépin. Moi, j’ai largué une caisse, histoire de l’éloigner de mon pedigree. Mon cul ! Il a paré avec une pince à linge. Comme parfum d’insolence, moi je sais y faire.
Le pastiche qui gratte Raymond quand il évoque sa jeunesse twist en « habit de l’humour noir » (dixit le Guytounet, Oh moins lui il sait écrire !). Et puis, en 79 le premier album des Odeurs, on est un peu corniaud quand on a 18 ans + un, n’est-ce pas Franckos ? Le Raymond, il a fichu la jeunesse aux orties du Bartos. Je vous l’ai déjà dit dans un précédent papier. Y’en a combien qui suivent ? Et il récidive avec les A la Bonne/heure des darnes. Et moi, je suis quoi dans cette histoire, je suis la carne de service, c’est ça ? Et je dois me fendre la banane, bandes de nazes !
Et le Bartos qui ressort de sa gomina les albums qui schlinguent : « 1980 No Sex ! » et « De l’amour ». Ce connos, il a un grand faible pour ce dernier. Ces variations autour du thème tarte à la douce crème de l’amur tu jures. C’est désopilant. Un exercice de style en quelque sorte avec beaucoup de dérision, marque de fabrique de Raymond qui s’en bat le poulpe des recettes éculées, puisqu’il « s’agissait de perpétuer un esprit iconoclaste et déconneur voir un peu provoc », c’est le Pépin qui le dit.
Et maintenant le Franckos qui se platine cet hymne à la franchouille bouille : « Roulez bourrés » qui fut censuré. C’est un comble. Moi je m’en fous je ne suis pas française, je suis née sur le continent africain et chez les singes on n’a pas de frontière ni encore moins de pq d’identité pour lécher le cul au syndrome de Sarko !
Finalement, je vais peut-être m’en jeter un godet de derrière le clito, histoire de faire la nique au dernier numéro de Muziq.
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