Guy Darol fait encore le mariol. On connait la Muziq ! C'est encore le Bartos qui va se péter une cosse, déjà qu'il est câblé comme os de serpent...

Muziq suite… titré : « Bouffée de rock », le bouquin du Bartos par Guy Mariol. Bourrée de complexes (le personnage féminin avec un léger accent circonflexe) comme aurait dit Boris Viandox, "Elle a changé de sexe", dans l'une des ses chansons. Faut pas se gêner pour moi, les mecs. L’intox ne prendra pas. La coupe est veine.
« Carl et les vies parallèles » c’est soit disant « totalement poilant ». Mon cul sur la commode, qu’il se gratte. C’est chiant à crever les vers du nez en brochettes et comme je suis végétarienne, j’évite le régime carné pour la sauvegarde de mes nénés et les tontines pelviennes
« Apôtre de la désertion coincée », où va-t-il chercher toutes ses conneries le Mariol ? Rengagez le Bartos à l’armée de salubrité publique et qu’il nous écrive des nanars au lieu de se planquer au rencard, derrière des personnages filoutés, les barges !
Heureusement qu’il y a une et une seule. L’unique Missdinguette pour ramener la vérité à la source cachée de mes mots non galvaudés. C’est pas moi qui jette les dés, c’est l’autre timbré de Franckos. Maintenant qu’il a des gens qui parlent de son bouquin dans la presse, il va me presser le citron en me soufflant son air fétide : - Tu vois ma Singette, qu’il est bon mon bouquin.
C’est de la merde en feuilles, tout juste bonne à se torcher une diarrhée au diapason d’un cacaboudin chat marée.
Si je chope le Mariol, je vais lui faire passer le goût de la gondole. Non mais sans dec, nom d’une cacahuète !