mercredi, octobre 11, 2006

Depuis plus de trois décennies, les Au Bonheur des Dames, ces un femme créatures pourrissent l'existence du Bartos. STOP !


Rita Brantalou, Fabrice des Dieux, Jimmy Freud, Gepetto Ben Galabros, Sharon Glory, Ramon Pipin, César Pompidou, Edddick Ritchell, Jean-Mi Tapdur, Shitty Télaouine…(Hubert de la Motte Fifrée)… Si ces hautes figures d’en avant la zizique de la deuxième ère des héros musicaux ne vous effleurent pas le scalp, fermez votre ordi. Ce message en cape bastringue se lape les esgourdes pas filées à l’huile de coude. Leurs décibels ne m’arrachent pas vraiment des rires fous. Je leur distille à cette fratrie des mabouls, les tueurs nés du sérieux et des prout prout dans la soie, mon plus profond dégueuli. Avec leur dernier album « Métal Moumoute », ils vont encore piquer le rappel du Franckos. Et, ils savent pas qui c’est’y qui va se farcir le carmel à aller cueillir le Franckos à l’hôpital psychiatrique dans les contrées hostiles de la Brie du fromage.
Le Franckos, les Au Bonheur des Dames, il les suit à la trace du saphir qui gravait ses sillons. Déjà ado, au lieu de draguer les meufs sur un slow des Biteseuls, lui dans les boums il se radinait avec un Parkinson qui sonnait son éjection dare dare et sans égard.
Il en touchait pas une, caramel et nougat caca, c’était le paria des cours de tous les bahuts avec ses goûts musicossss de grand connosssssss Duduche à se torcher les tripes et se dandiner furibard comme un dératé à l’écoute hagard des Au Bonheur des Dames. Il leur doit, à ces connards, le gâchis de ses plus belles années. Moi, à sa place j’aurai porté plainte contre la complainte des zinzins. J’irai au pénal et hop là, un bon coup de pied à son moral.
Je parle dans le vide, il a gardé ses vinyles et adule toujours ces tarrés. Il est complètement maso le Franckos. Sur sa pierre tombale : j’inscrirai : A la mémoire des Au Bonheur des Dames qui lui ont pourri des larmes cariées de caïmans.
Jeudi 19 octobre… Il barre chaque jour d’un trait le semainier et se prépare au concert des Au Bonheur des Dames à Paname. J’irai, vous pensez bien, en tant que passagère clandestine garder un œil sur lui et dès notre retour au bercail, je l’inscrirai à une cure de désintoxication du docteur Guy Minux, le professor qui de l’horror vous caduce un abcès gondilonant des cerveaux lents en jambon de Bayonne faisandé.

Je suis désolée de me commettre à écrire un texte sur ce groupe à la concombre des nombres, mais fallait que je vous mette en garde, Attention danger : les Au Bonheur des Dames et ses dérivées Odeurs du senior Ramon Pipin, c’est de la came duraille, c’est pire que la bibine et la téloche qui s’encanaillent à estourbir les gogos.

Gaffe les aminches. Vivement que la brigade des stups retire des bacs les albums des Au Bonheur des Dames. Quand c’est’y que le Bartos me reviendra trépané et guéri.
Je suis preneuse à tous vos remèdes de bofs. Il en va de la survie de mon créateur si vous ne voulez pas me voir disparaître à tout jamais entre deux pages.
C’était un appel désespéré au secours de Missdinguette, un jour de l’an 2006 de l’année du crottin.

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