Sainte-Hélène, Sainte-Hélène, ça me rappelait le nabot Léon, celui qui se gaussait le giron avec une main rentrée sous le plastron…. J’étais donc un tantinet méfiante quand le Bartos m’annonça la couleur du salon.
En fête, rien que de la joie en ce pays médocain bon enfant. Trois grosses pointures de l’édition Marie-Claude Gay, Mireille Calmel, Eric Holder et l’aréopage à la page de tout ce qui se vit s’écrit s’édite et se dessine sur la région, soit environ une quarantaine d’auteur(e)s.
Une salle rectangulaire sonorisée jazz cool…. A un moment j’ai reconnu une certaine « Petite fleur » de Sydney Bechet et des personnes assemblées derrière des tables, histoire de converser de leur œuvre avec les visiteuses et visiteurs. C’est dingue, le nombre de lectrices et lecteurs en ce petit pays !
Le vendredi 24, c’était la récré et la dictée avec Sabine, à votre bon cœur mesdames et messieurs et sus aux erreurs orthographiques dans le texte.
Le Dimanche, c’était la rencontre avec les auteur(e)s.
Et moi qui ne fonctionne qu’aux affinités électives, étant donné mes maigres qualités intellectuelles de Missdinguette la Singette pour tout apprécier, j’ai retenu entre autre un courant fraternel lors de mes échanges avec Gloria Gargallo et l’épopée de son père anarchiste espagnol durant la révolution sociale libertaire de 1936 et la retraite de la mémoire des vaincus dans le livre qu’elle lui a consacré, sur lequel je reviendrai dans un prochain papier
J’ai apprécié la démarche de Claude Jacquot et son ouvrage « Nues » qui rend un vibrant hommage au dévoilement de femmes anonymes en toute simplicité et leurs remarques sur cette possibilité de rencontre avec l’artiste photographe. A suivre également.
Enfin Eric Holder, un sacré bonhomme dont je chroniquerai prochainement ses deux derniers livres : «La baïne » et « De loin on dirait une île ». Tous les deux se situent dans le Médoc et j’offrirai la primeur d’une interview de son auteur pour le Mague.
A noter également la présence de l’éditeur Pleine Page en phase et en phrase avec la Gironde et tant d’autres encore et toujours qui se bougent les mots pour raconter des histoires.
Un bon crû 2008. Santé à toutes et à tous.
En fête, rien que de la joie en ce pays médocain bon enfant. Trois grosses pointures de l’édition Marie-Claude Gay, Mireille Calmel, Eric Holder et l’aréopage à la page de tout ce qui se vit s’écrit s’édite et se dessine sur la région, soit environ une quarantaine d’auteur(e)s.
Une salle rectangulaire sonorisée jazz cool…. A un moment j’ai reconnu une certaine « Petite fleur » de Sydney Bechet et des personnes assemblées derrière des tables, histoire de converser de leur œuvre avec les visiteuses et visiteurs. C’est dingue, le nombre de lectrices et lecteurs en ce petit pays !
Le vendredi 24, c’était la récré et la dictée avec Sabine, à votre bon cœur mesdames et messieurs et sus aux erreurs orthographiques dans le texte.
Le Dimanche, c’était la rencontre avec les auteur(e)s.
Et moi qui ne fonctionne qu’aux affinités électives, étant donné mes maigres qualités intellectuelles de Missdinguette la Singette pour tout apprécier, j’ai retenu entre autre un courant fraternel lors de mes échanges avec Gloria Gargallo et l’épopée de son père anarchiste espagnol durant la révolution sociale libertaire de 1936 et la retraite de la mémoire des vaincus dans le livre qu’elle lui a consacré, sur lequel je reviendrai dans un prochain papier
J’ai apprécié la démarche de Claude Jacquot et son ouvrage « Nues » qui rend un vibrant hommage au dévoilement de femmes anonymes en toute simplicité et leurs remarques sur cette possibilité de rencontre avec l’artiste photographe. A suivre également.
Enfin Eric Holder, un sacré bonhomme dont je chroniquerai prochainement ses deux derniers livres : «La baïne » et « De loin on dirait une île ». Tous les deux se situent dans le Médoc et j’offrirai la primeur d’une interview de son auteur pour le Mague.
A noter également la présence de l’éditeur Pleine Page en phase et en phrase avec la Gironde et tant d’autres encore et toujours qui se bougent les mots pour raconter des histoires.
Un bon crû 2008. Santé à toutes et à tous.
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