
« Les guerriers de la beauté », c’est un film. C’est la vie de château avec des personnes qui se déplacent comme des danseuses et des danseurs. Parmi ceuses, il y a une mariée, c’est elle le fil conducteur entre les interprètes.
Pierre Couliboeuf, le cinéaste, avec un nom comme le sien il était prédisposé à employer des bestioles : une chouette, deux iguanes, un corbeau, un boa et une colonie de cafards….
Le salop, il n’a même pas pensé à m’engager, moi Missdinguette la Singette, l’être suprême. C’est pour bientôt mon poto l’ami Carême ?
Rien à signaler. Rien de très probant. Le huit clos de la vie de château.
Un couple qui se badigeonne à poil avec de la confiture de fraise, y’en a plusieurs qui cassent des assiettes, une qui pisse debout et j’en passe des plus banals…
Vous l’aurez compris, y’a pas photo.
J’ai apprécié le monsieur bien portant et le petit nain. C’est comme chez Bill T. Jones selon lequel, ras le bol la norme corporelle imposée. Passe-moi l’éponge, j’y songe.
La récréation du chorégraphe Jan Fabre a donné l’inspiration au cinéaste. Il me fait marrer Jan quand il déclare : « Certains créent dans la douleur, moi je crée dans la joie. A chaque fois, c’est un voyage spirituel qui me comble ». Plus spirituel, la moutarde me monte au tarin et j’enfante une bombe. Quant à son humour contagieux avec ses interprètes, j’entends les mouches péter. Je retiens mon rire contagieux et je me poile la raie au milieu…..
J’ai lu dans le générique qu’il y avait des dialogues. « Le monologue c’est pas toujours ce qu’il y a de mieux / Si on parle seul c’est qu’on est gâteux / Quand on est deux ça devient un dialogue / Mais si on est quatre c’est un catalogue » (Odeurs in l’album « De l’Amour ») Malgré tout, j’ai entendu des monologues intéressants en voix off ou in. Tout l’intérêt de ce film réside justement dans l’interpellation entre le corps et les propos déclamés. Ces interactions ont quelque chose de surprenant dans leurs interprétations.
Je sais que le Franckos s’intéresse au sujet. Sauf au secours, la danse contemporaine filmée. C’est jamais pas très joyeux, Plaie aux miasmes, j’ai de l’asthme.
Ah quand l’humour, la dérision qui cartonne le conformisme ambiant. ? Les arts vivants puisqu’en vie ont la capacité justement d’offrir à partager cette fabuleuse faculté qui puisse démanteler le système qui musèle les zygomatiques.
A propos d’humour justement, cet autre film : « The unclear age », dans les premières secondes, un gag à partir d’un yaourt dégusté par Erna Omarsdottir et des plaques de chocolat au bide du danseur.
Quelques secondes de joie et tout de suite après, Yaouuuuuuuuuu, un couple se bagarre dans un décor géant de décharge publique avec un écran qui décline du propre. Ca me rappelle dans l’esprit un morceau des Soft Machine « Plus belle qu’une poubelle ».
Superbe scène, lorsqu’il pleut des bandes magnétiques. Les ondulations des corps en désaccord me nouent la chique avant le retour du calme au son du carillon.
Réalisation : Anaïs et Olivier Spiro
Interprétation : Erna Omarsdottir et Damien Jalet
Pierre Couliboeuf, le cinéaste, avec un nom comme le sien il était prédisposé à employer des bestioles : une chouette, deux iguanes, un corbeau, un boa et une colonie de cafards….
Le salop, il n’a même pas pensé à m’engager, moi Missdinguette la Singette, l’être suprême. C’est pour bientôt mon poto l’ami Carême ?
Rien à signaler. Rien de très probant. Le huit clos de la vie de château.
Un couple qui se badigeonne à poil avec de la confiture de fraise, y’en a plusieurs qui cassent des assiettes, une qui pisse debout et j’en passe des plus banals…
Vous l’aurez compris, y’a pas photo.
J’ai apprécié le monsieur bien portant et le petit nain. C’est comme chez Bill T. Jones selon lequel, ras le bol la norme corporelle imposée. Passe-moi l’éponge, j’y songe.
La récréation du chorégraphe Jan Fabre a donné l’inspiration au cinéaste. Il me fait marrer Jan quand il déclare : « Certains créent dans la douleur, moi je crée dans la joie. A chaque fois, c’est un voyage spirituel qui me comble ». Plus spirituel, la moutarde me monte au tarin et j’enfante une bombe. Quant à son humour contagieux avec ses interprètes, j’entends les mouches péter. Je retiens mon rire contagieux et je me poile la raie au milieu…..
J’ai lu dans le générique qu’il y avait des dialogues. « Le monologue c’est pas toujours ce qu’il y a de mieux / Si on parle seul c’est qu’on est gâteux / Quand on est deux ça devient un dialogue / Mais si on est quatre c’est un catalogue » (Odeurs in l’album « De l’Amour ») Malgré tout, j’ai entendu des monologues intéressants en voix off ou in. Tout l’intérêt de ce film réside justement dans l’interpellation entre le corps et les propos déclamés. Ces interactions ont quelque chose de surprenant dans leurs interprétations.
Je sais que le Franckos s’intéresse au sujet. Sauf au secours, la danse contemporaine filmée. C’est jamais pas très joyeux, Plaie aux miasmes, j’ai de l’asthme.
Ah quand l’humour, la dérision qui cartonne le conformisme ambiant. ? Les arts vivants puisqu’en vie ont la capacité justement d’offrir à partager cette fabuleuse faculté qui puisse démanteler le système qui musèle les zygomatiques.
A propos d’humour justement, cet autre film : « The unclear age », dans les premières secondes, un gag à partir d’un yaourt dégusté par Erna Omarsdottir et des plaques de chocolat au bide du danseur.
Quelques secondes de joie et tout de suite après, Yaouuuuuuuuuu, un couple se bagarre dans un décor géant de décharge publique avec un écran qui décline du propre. Ca me rappelle dans l’esprit un morceau des Soft Machine « Plus belle qu’une poubelle ».
Superbe scène, lorsqu’il pleut des bandes magnétiques. Les ondulations des corps en désaccord me nouent la chique avant le retour du calme au son du carillon.
Réalisation : Anaïs et Olivier Spiro
Interprétation : Erna Omarsdottir et Damien Jalet
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