
« Va dire à Charlie toi qui mènes la danse
Que le pays se portera mieux
Quand les malades auront l’élégance
Pour se guérir de faire un vœu
Va lui dire que son cas est si rare
Que le soigner coûte bonbon
Il n’a plus sa place en laboratoire
Qu’il aille donc au téléthon »
« Va dire à Charlie » (Kent Cokenstock) in l’album Kent : Bienvenue au Club (2005)
Il y aurait parait-il au moins trois associations naturistes recensées à Euronat. Une franchouillarde à la mode qui se bouffe le pif, façon club naturiste, histoire de se pourvoir au pouvoir pour voir….. Une autre gauloise dont je vais vous narrer l’existence à travers un entrefilet mignon dans le journal local… Enfin, une troisième bien sous tous les rapports puisque internationale avec au moins deux cultures et langues représentées.
Avec le télédon dans le thon, je dénombre un nouveau don : un papier paru dans Sud-Ouest de décembre intitulé « Lesparre-Médoc Les cueilleurs de dons », avec une photo de Guy Poulet. J’y lis : « Les naturistes reconvertis en vendeurs de serviettes…. » J’ y vois sous la plaque de l’Espace François Lamiteerrante, une dame lunettée qui s’active de la machine à coudre et, dans le dé qui lui tient lieu de stand, elle est entourée par d’autres personnes de la gent grise mine féminine qui se planquent à couvert du tissus éponge d’un ton blanc immaculé conception et bonnes intentions. Une affiche : club naturiste d’Euronat et du Sud Ouest ensemble oeuvrons pour le téléthon, annonce la couleur. A droite de la scène biblique un homme tout en bleu se tient le menton, dans la position du monsieur rasé de près né sous le signe du rasoir. Il se demande : qu’est-ce que je fiche dans ce foutoir ? Ce serait le bon départ d’une nouvelle littéraire. Sondage laminaire et des profondis sur ce qui se passe dans la tête de tous ces personnages et l’interaction jubilatoire qui se joue à ciel ouvert. Huis clos éclot….. J’en causerai au Bartos qui risque de partir au quart de tour…
Je connaissais les porteurs de serviettes. Les gaulois rondouillards chacals qui se goinfrent du bouclier fiscal. La charité business des bonnes dames patronnesses à la sortie de la messe. C’est bien connu : « On se les gèle dans le pognon » (Bernard Lavilliers). La racole du portefeuille, seule apte à sauver des personnes qui souffrent corps et esprit du déficit de la manne étatique toute puissante qui refuse catégoriquement de leur venir en aide et découvrir les remèdes pour les soigner dignement et ne pas les laisser en carafe, comme tout citoyen homme et femme est en phase d’attendre de vive la sociale.
Lorsque le mal-être du futur proche mal de vivre est conçu avant et / ou pendant le développement du fœtus. Lorsqu’il est identifié. Si je m’abuse, le combat des femmes pour le droit de disposer de leur corps plaisir dignement, équitablement et, suivant les moyens contraceptifs à leur disposition, voir l’avortement légalisé en dernier recours de leur liberté d’enfanter, ce sont elles qui émettent leur choix de donner vie ou trépas à un bébé non viable à long terme.
Dans le même topo des idées, le mouvement néo malthusien proposait lui aussi un choix de vie défini suivant des critères d’une existence décente pour les couples ou familles. A savoir, le minimum syndical nécessaire d’enfants pouvant être logés nourris et choyés, suivant les revenus du couple en présence. Un combat toujours d’avant-garde en amont du planning familial pour lutter contre la misère qui a toujours eu une sérieuse tendance à multiplier les bouches à nourrir en se vautrant dans la méconnaissance crasse des mécanismes corporels réduits au papa ou monsieur, qui picole et se vide les burnes dans madame de telle sorte à faire passer la pilule de son exploitation sociale manifeste.
Il est aussi hélas des maladies non déclarées avant la naissance qui se bonifient au cours de l’existence.
Il existe des épisodes d’épidémies modernes* liées directement à notre environnement. Quelques chiffres* : une femme sur trois et un homme sur deux est actuellement la cible du cancer qui a multiplié ses tentacules du méchant crabe de 63 % en moins de 20 ans et se dresse désormais à la première marche du podium des causes de mortalité ! Quelques pistes causales : entre autre avec l’emploi des produits chimiques dans notre alimentation (pesticides…), le champ de la maisonnée (produits de nettoyage…), le bourrage des crânes vides par la publicité…. « On ne pourra arrêter cette épidémie de cancers qu’en prenant en compte les causes. Il faut une révolution de santé publique. (…) Il faut éliminer tous ces produits de notre environnement, martèle le scientifique. Boire de l’eau saine, retrouver des sols décontaminés, préférer les transports publics aux voitures privées, manger des produits bruts. » *
Jean-François Bizot était le fondateur de la fabuleuse revue Actuel avec l’éclosion de toutes les rebellions du possible d’après mai 68, puis des radios aux tympans ouverts à l’univers : Radio Nova / TSF (jazz).
Ce type, qui au lieu de dilapider la fortune familiale pour se vautrer dans son propre plaisir, a su partager ses ressources et proposer des ponts culturels et festifs. Chapeau l’artiste. Un méchant crabe, qu’il appela « Jack » dans l’un de ses livres, lui tortura le bide, malgré ses résistances actives. Résistance d’une part à la souffrance et aux traitements avec sa connaissance de la pharmacopée suite à ses études dans ce domaine selon ses propres cocktails, hors sujet de la légalité.
La saloperie de « Jack » a eu raison de lui. Jean-François est décédé il y a fort peu de temps. (SNIF ).
Autre arnaque au télédon en la personne de Fred Romano, dernière compagne pour le meilleur et le pire de sir Coluche et, depuis écrivaine de talent souvent incomprise des éditeurs hexagonaux qui ont la fâcheuse tendance à l’ignorer (voir mes différents papiers au sujet de ses ouvrages parus), créatrice également d’images, vivant sa maladie à l’Ile de Formentera.
Une femme de l’excellence avec laquelle le Franckos prend toujours un immense plaisir à dialoguer autour de ses textes en ligne sur son blog (voir l’adresse dans mes liens). Elle a la révolte intacte comme le Bartos et la verve affûtée comme un stylet contre la connerie crasse des hordes de turistas qui polluent son île (les nudistes étrangers à chier la font bien marrer), le syndrome de Sarko qui rogne jusqu’à nos dernières libertés, avec toutes les autres ordureries qui déglinguent notre planète et notre atmosphère. Elle est la veilleuse active de la toile planétaire. Devant l’impuissance du corps médical à son égard lui prédisant seulement quelques mois d’existence, superbe Fred en véritable femme poisson nue, aidée par ses connaissances en biologie et épaulée par un mari formidable, est partie suivre une cure thermale en Bulgarie mais aussi l’année dernière en Italie….. Régénérée, fichant une grande claque aux blouses blanches et à la camarde qui veille en sourdine, la grande Fred se bat de toutes ses forces et n’implore aucune pitié ni aucune larme à son égard, contrairement aux geignards et chiards médiatiques.
Vive Fred avec toute l’amitié du Bartos et de la Singette
Cette grande messe du télédon, cet impôt indirect par les suppositoires du superfétatoire, je lui chie à la raie les bons sentiments du développement personnel que l’on retrouve à toutes les sources des canards à la racole des pistoles. Je lui propose de chanter en chœur cette ode à la psychanalyse passive et poussive selon saint Sigmund revisitée comme il se doigte par ce cher Ramon : « Le stade nasal » (Costric et Ramon Pipin, in l’album Ramon Pipin’s Odeurs 1980 : no sex ! ) :
Le client :
« Pour parvenir à consommer
L’acte de chair avec ma truie
Dans mon esprit conditionné
Doit s’imposer l’image qui suit :
Je suis pendu par les oreilles
Dans la basilique de Lisieux
Léché par vingt-six enfants bleus
Un catcheur mongolien me fouette
Bien sûr vêtu d’une crinoline
Une carmélite prise en levrette
Me bénit avec de l’urine !
L’analyste :
Jusque-là rien que de normal
Puisque vous êtes l’un des chanteurs
D’un groupe bloqué au stade nasal :
Les surnommés « Pipin’s Odeurs » !
Poursuivons l’analyse primaire
En transcendant la transcendance
Epanchez-vous à cul ouvert
Et parlez-moi de votre enfance (bis)… »
La suite et tout le reste en musique, que du bon et de la qualité texte et zizique in le coffret : L’intégrale saison 1(1979 / 1983), Ramon Pipin’s Odeurs (4 CD), (voir à ce sujet mes différents papiers sur mon blog).
* Fred Romano et son recueil de nouvelles d’une vibrante actualité : « Contaminations », ed. Pauvert, (2000).
* in article de Sud Ouest (décembre 2008) « Nouvelles épidémies »
* idib André Cicolella, chercheur chimiste préside la commission nationale de santé des Verts, il est l’auteur : « Le défi des épidémies modernes » Comment sauver la Sécu en changeant le système de santé, ed. La Découverte.
Que le pays se portera mieux
Quand les malades auront l’élégance
Pour se guérir de faire un vœu
Va lui dire que son cas est si rare
Que le soigner coûte bonbon
Il n’a plus sa place en laboratoire
Qu’il aille donc au téléthon »
« Va dire à Charlie » (Kent Cokenstock) in l’album Kent : Bienvenue au Club (2005)
Il y aurait parait-il au moins trois associations naturistes recensées à Euronat. Une franchouillarde à la mode qui se bouffe le pif, façon club naturiste, histoire de se pourvoir au pouvoir pour voir….. Une autre gauloise dont je vais vous narrer l’existence à travers un entrefilet mignon dans le journal local… Enfin, une troisième bien sous tous les rapports puisque internationale avec au moins deux cultures et langues représentées.
Avec le télédon dans le thon, je dénombre un nouveau don : un papier paru dans Sud-Ouest de décembre intitulé « Lesparre-Médoc Les cueilleurs de dons », avec une photo de Guy Poulet. J’y lis : « Les naturistes reconvertis en vendeurs de serviettes…. » J’ y vois sous la plaque de l’Espace François Lamiteerrante, une dame lunettée qui s’active de la machine à coudre et, dans le dé qui lui tient lieu de stand, elle est entourée par d’autres personnes de la gent grise mine féminine qui se planquent à couvert du tissus éponge d’un ton blanc immaculé conception et bonnes intentions. Une affiche : club naturiste d’Euronat et du Sud Ouest ensemble oeuvrons pour le téléthon, annonce la couleur. A droite de la scène biblique un homme tout en bleu se tient le menton, dans la position du monsieur rasé de près né sous le signe du rasoir. Il se demande : qu’est-ce que je fiche dans ce foutoir ? Ce serait le bon départ d’une nouvelle littéraire. Sondage laminaire et des profondis sur ce qui se passe dans la tête de tous ces personnages et l’interaction jubilatoire qui se joue à ciel ouvert. Huis clos éclot….. J’en causerai au Bartos qui risque de partir au quart de tour…
Je connaissais les porteurs de serviettes. Les gaulois rondouillards chacals qui se goinfrent du bouclier fiscal. La charité business des bonnes dames patronnesses à la sortie de la messe. C’est bien connu : « On se les gèle dans le pognon » (Bernard Lavilliers). La racole du portefeuille, seule apte à sauver des personnes qui souffrent corps et esprit du déficit de la manne étatique toute puissante qui refuse catégoriquement de leur venir en aide et découvrir les remèdes pour les soigner dignement et ne pas les laisser en carafe, comme tout citoyen homme et femme est en phase d’attendre de vive la sociale.
Lorsque le mal-être du futur proche mal de vivre est conçu avant et / ou pendant le développement du fœtus. Lorsqu’il est identifié. Si je m’abuse, le combat des femmes pour le droit de disposer de leur corps plaisir dignement, équitablement et, suivant les moyens contraceptifs à leur disposition, voir l’avortement légalisé en dernier recours de leur liberté d’enfanter, ce sont elles qui émettent leur choix de donner vie ou trépas à un bébé non viable à long terme.
Dans le même topo des idées, le mouvement néo malthusien proposait lui aussi un choix de vie défini suivant des critères d’une existence décente pour les couples ou familles. A savoir, le minimum syndical nécessaire d’enfants pouvant être logés nourris et choyés, suivant les revenus du couple en présence. Un combat toujours d’avant-garde en amont du planning familial pour lutter contre la misère qui a toujours eu une sérieuse tendance à multiplier les bouches à nourrir en se vautrant dans la méconnaissance crasse des mécanismes corporels réduits au papa ou monsieur, qui picole et se vide les burnes dans madame de telle sorte à faire passer la pilule de son exploitation sociale manifeste.
Il est aussi hélas des maladies non déclarées avant la naissance qui se bonifient au cours de l’existence.
Il existe des épisodes d’épidémies modernes* liées directement à notre environnement. Quelques chiffres* : une femme sur trois et un homme sur deux est actuellement la cible du cancer qui a multiplié ses tentacules du méchant crabe de 63 % en moins de 20 ans et se dresse désormais à la première marche du podium des causes de mortalité ! Quelques pistes causales : entre autre avec l’emploi des produits chimiques dans notre alimentation (pesticides…), le champ de la maisonnée (produits de nettoyage…), le bourrage des crânes vides par la publicité…. « On ne pourra arrêter cette épidémie de cancers qu’en prenant en compte les causes. Il faut une révolution de santé publique. (…) Il faut éliminer tous ces produits de notre environnement, martèle le scientifique. Boire de l’eau saine, retrouver des sols décontaminés, préférer les transports publics aux voitures privées, manger des produits bruts. » *
Jean-François Bizot était le fondateur de la fabuleuse revue Actuel avec l’éclosion de toutes les rebellions du possible d’après mai 68, puis des radios aux tympans ouverts à l’univers : Radio Nova / TSF (jazz).
Ce type, qui au lieu de dilapider la fortune familiale pour se vautrer dans son propre plaisir, a su partager ses ressources et proposer des ponts culturels et festifs. Chapeau l’artiste. Un méchant crabe, qu’il appela « Jack » dans l’un de ses livres, lui tortura le bide, malgré ses résistances actives. Résistance d’une part à la souffrance et aux traitements avec sa connaissance de la pharmacopée suite à ses études dans ce domaine selon ses propres cocktails, hors sujet de la légalité.
La saloperie de « Jack » a eu raison de lui. Jean-François est décédé il y a fort peu de temps. (SNIF ).
Autre arnaque au télédon en la personne de Fred Romano, dernière compagne pour le meilleur et le pire de sir Coluche et, depuis écrivaine de talent souvent incomprise des éditeurs hexagonaux qui ont la fâcheuse tendance à l’ignorer (voir mes différents papiers au sujet de ses ouvrages parus), créatrice également d’images, vivant sa maladie à l’Ile de Formentera.
Une femme de l’excellence avec laquelle le Franckos prend toujours un immense plaisir à dialoguer autour de ses textes en ligne sur son blog (voir l’adresse dans mes liens). Elle a la révolte intacte comme le Bartos et la verve affûtée comme un stylet contre la connerie crasse des hordes de turistas qui polluent son île (les nudistes étrangers à chier la font bien marrer), le syndrome de Sarko qui rogne jusqu’à nos dernières libertés, avec toutes les autres ordureries qui déglinguent notre planète et notre atmosphère. Elle est la veilleuse active de la toile planétaire. Devant l’impuissance du corps médical à son égard lui prédisant seulement quelques mois d’existence, superbe Fred en véritable femme poisson nue, aidée par ses connaissances en biologie et épaulée par un mari formidable, est partie suivre une cure thermale en Bulgarie mais aussi l’année dernière en Italie….. Régénérée, fichant une grande claque aux blouses blanches et à la camarde qui veille en sourdine, la grande Fred se bat de toutes ses forces et n’implore aucune pitié ni aucune larme à son égard, contrairement aux geignards et chiards médiatiques.
Vive Fred avec toute l’amitié du Bartos et de la Singette
Cette grande messe du télédon, cet impôt indirect par les suppositoires du superfétatoire, je lui chie à la raie les bons sentiments du développement personnel que l’on retrouve à toutes les sources des canards à la racole des pistoles. Je lui propose de chanter en chœur cette ode à la psychanalyse passive et poussive selon saint Sigmund revisitée comme il se doigte par ce cher Ramon : « Le stade nasal » (Costric et Ramon Pipin, in l’album Ramon Pipin’s Odeurs 1980 : no sex ! ) :
Le client :
« Pour parvenir à consommer
L’acte de chair avec ma truie
Dans mon esprit conditionné
Doit s’imposer l’image qui suit :
Je suis pendu par les oreilles
Dans la basilique de Lisieux
Léché par vingt-six enfants bleus
Un catcheur mongolien me fouette
Bien sûr vêtu d’une crinoline
Une carmélite prise en levrette
Me bénit avec de l’urine !
L’analyste :
Jusque-là rien que de normal
Puisque vous êtes l’un des chanteurs
D’un groupe bloqué au stade nasal :
Les surnommés « Pipin’s Odeurs » !
Poursuivons l’analyse primaire
En transcendant la transcendance
Epanchez-vous à cul ouvert
Et parlez-moi de votre enfance (bis)… »
La suite et tout le reste en musique, que du bon et de la qualité texte et zizique in le coffret : L’intégrale saison 1(1979 / 1983), Ramon Pipin’s Odeurs (4 CD), (voir à ce sujet mes différents papiers sur mon blog).
* Fred Romano et son recueil de nouvelles d’une vibrante actualité : « Contaminations », ed. Pauvert, (2000).
* in article de Sud Ouest (décembre 2008) « Nouvelles épidémies »
* idib André Cicolella, chercheur chimiste préside la commission nationale de santé des Verts, il est l’auteur : « Le défi des épidémies modernes » Comment sauver la Sécu en changeant le système de santé, ed. La Découverte.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire