Je vous propose la pharmacopée suivante : une dose de forêt, de mer, de rivière, presque une île préservée sans pont avec la côte, un courant fortiche qui se magne de mélanger l’eau salée de la mer avec l’eau boueuse du grand fleuve, remous assurés et aisés.
A 103 km de Bordeaux depuis l’embarcadère du Verdon soit environ 1 h 30 à 2 heures de transport en fonction des circonvolutions bagnolesques, ce petit coincoin protégé est peuplé en majorité de retraités les os rabougris en fin de vie et d’à peu près mars à fin septembre, la seule industrie constituée se peuple d’envahisseurs blafards, j’ai nommé les touristes. On cultive aussi des bêtes sous-marines que les humanos dégustent avec du citron.
L’usine à gaz va péter dans le tas, à moins que ce petit monde se bouge le cul et prout !
A 103 km de Bordeaux depuis l’embarcadère du Verdon soit environ 1 h 30 à 2 heures de transport en fonction des circonvolutions bagnolesques, ce petit coincoin protégé est peuplé en majorité de retraités les os rabougris en fin de vie et d’à peu près mars à fin septembre, la seule industrie constituée se peuple d’envahisseurs blafards, j’ai nommé les touristes. On cultive aussi des bêtes sous-marines que les humanos dégustent avec du citron.
L’usine à gaz va péter dans le tas, à moins que ce petit monde se bouge le cul et prout !
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