



Avec le Franckos, on a pris de l’altitude, histoire de respirer à plein tarin les multitudes de senteurs et autres insectes sauvages. C’est étrange, moi les moustiques ne me piquent pas, pas plus que mon frangin d’ailleurs. Alors que le Bartos, c’est un sac à viande faisandée que les insectes piqueurs carnassiers se réservent au dessert. A propos de fin de repas, justement j’y viens mes agneaux.
Le Franckos pendant qu’il crachouillait ses poumons, nous on en a profité pour se régaler parmi les murs et autres murmures bien mures. MIAM MIAM. Quand le Bartos s’est aperçu du carnage et qu’il ne restait plus grand-chose pour son dernier quart d’heure, il a poussé une gueulante. Nous, on connaissait son manège. Pas cons, on s’est muni de boules Quiest-ce et j’ai lu sur ses lèvres.
- Bon c’est pas tout les singes, si vous bouffez tous les fruits, comment on va remplir ma boite en flasquetoc ?
- Remplis la toi-même, hé banane, je lui ai rétorqué du tic au toc.
D’autant que ça pique de partout ces ronces là !
- D’accord, je remplis la moitié et vous vous chargez après de l’autre moitié.
- Marché conclu.
On a tous les trois craché dans la boite et nous on s’est taillé. Quand on est revenu, le Franckos invoquait saint Tétanos, priez pour un tétanisé pas coolos et tout le toutim. On se marrait, parce que nous on est paré avec notre peau qui se tient à carreau dans les lianes et qui ne craint pas la panne de poils. Vous me suivez ? Visez les photos et zieutez le résultat. On s’en est bien tiré pour ainsi dire tout seul.
En rentrant au Ventous, le Bartos a été piquer chez une nénette moche comme un bec de gaz un flacon de parfum et s’en est aspergé les menottes, histoire de désinfecter, il disait. Il chlinguait, je vous dis pas !
S’il n’est pas crevé dans les deux jours, je continue de vous conter mes dernières vacances au Vent Tousse. Avec lui, pouf pouf, on peut s’attendre à plouf dans la chnouf !
Le Franckos pendant qu’il crachouillait ses poumons, nous on en a profité pour se régaler parmi les murs et autres murmures bien mures. MIAM MIAM. Quand le Bartos s’est aperçu du carnage et qu’il ne restait plus grand-chose pour son dernier quart d’heure, il a poussé une gueulante. Nous, on connaissait son manège. Pas cons, on s’est muni de boules Quiest-ce et j’ai lu sur ses lèvres.
- Bon c’est pas tout les singes, si vous bouffez tous les fruits, comment on va remplir ma boite en flasquetoc ?
- Remplis la toi-même, hé banane, je lui ai rétorqué du tic au toc.
D’autant que ça pique de partout ces ronces là !
- D’accord, je remplis la moitié et vous vous chargez après de l’autre moitié.
- Marché conclu.
On a tous les trois craché dans la boite et nous on s’est taillé. Quand on est revenu, le Franckos invoquait saint Tétanos, priez pour un tétanisé pas coolos et tout le toutim. On se marrait, parce que nous on est paré avec notre peau qui se tient à carreau dans les lianes et qui ne craint pas la panne de poils. Vous me suivez ? Visez les photos et zieutez le résultat. On s’en est bien tiré pour ainsi dire tout seul.
En rentrant au Ventous, le Bartos a été piquer chez une nénette moche comme un bec de gaz un flacon de parfum et s’en est aspergé les menottes, histoire de désinfecter, il disait. Il chlinguait, je vous dis pas !
S’il n’est pas crevé dans les deux jours, je continue de vous conter mes dernières vacances au Vent Tousse. Avec lui, pouf pouf, on peut s’attendre à plouf dans la chnouf !
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