Quel rapport avec cette couverture de merde du roman du Bartos et Sarclo le chanteur romand toujours en avance d’une nécrologie, je vous le demande un peu ? Tout se situe entre les lettres du mot roman avec ou sans d comme Denise sans chemise et sans pantalon.
Alors sachez ceci : moi, Missdinguette, vous me connaissez. Vous connaissez mon caractère de truie versus simiesque. Vous connaissez ma bouille d’allumée. Vous m’adorez ou vous me détestez. Vous lisez mes aventures sur mon blog ou dans le premier bouquin paru du Franckos.
Autrement dit, je suis un personnage à part entière de chair et de phrases. L’emphase quoi !
Alors que Sarclo…. Je m’adresse uniquement aux lectrices et lecteur de « Carl et les vies parallèles », les autres n’ont qu’à l’acheter à l’auteur ou à son éditeur ou le piquer à leurs amis de leurs amis et cuicuicui…
Sarclo, avant c’était une voix des disques et une présence dans ce foutu bouquin qui donnait le la à une chouette nana féminine un peu déjantée de son pays de Suisse franco la phone. Mais de là un jour à rencontrer l’humour et la tendresse du sieur Sarcloret ou de Sernaclens alias Sarclo pour les intimes. Alors la, le Bartos il m’en bouche un coin saillant du côté de mes amis dalles.
Comme quoi, c’est bizarre non ! la réalité peut dépasser la fiction.
Mourir, c’est finir un peu
Elle est finie ma chanson
Pour mourir dans très très longtemps
Evitez les emmerdements
La la la la la la la la la la la
Pour mourir dans très très longtemps
Mourez vivant, vivez souvent !
Pour mourir dans très très longtemps
Vivez mourant, mourez souvent
La la la la la la la la la la
Mourir, c’est périr un peu de Sarclo
Non vraiment, le type joue sur ce ton bidon avec ses adieux toujours recommencés et son amour des gros lolos et il sait donner beaucoup de tendresse à son humour ravageur, le sieur. Il cultive la petite mort et c’est pourquoi il nous revient toujours aussi charmant et vous invite à sa « première tournée posthume » avec plein de titres de son nouvel album « A tombeau ouvert ». Découvrez la verve dans les textes et les images de ses chansons, chez cet honnête homme sur son site entoilé avec ses célèbres épitaphes du style : « Je ne crains point car le saigneur est mon berger allemand » ou gravé sur une pierre tombale : « Je t’aime à pierre fendre ».
Les esprits joyeux sont appelés à se retrouver en compagnie de l’aminche Sarlco en solo les 19 et 20 janvier au forum Léo Ferré, 11 rue Barbès à Ivry sur Seine (94 Val de Marne), métro Pierre Curie ou porte d’Ivry.
Tel : 01 46 72 64 68 / www.forumleoferre.com / courriel : forumleoferre@club-internet.fr
A bientôt ( le Franckos y sera le samedi 20 janvier) dans la joie et la bonne humeur qui nous sont coutumières.
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