
De deux choses l’une au clair de lune, ce sont les trois personnages précédents qui reviennent à la charge, sauf qu’en cours de route ils ont abandonné dans la soute celle, la missionnaire de l’ère du temps, celle qui irradie de sa tignasse la chambranle du capitaine.
Combien de marins de capitaines la pine au court bouillon des embruns déssèchés ont nourri les vasques des crabes au deux sens du terme. On dit du crabe qu’il est le maton qui vous boulotte de l’intérieur.
Elles ne sont pas belles les photos du Bartos, elles me rendent mélancolique que j’ai qu’une idée : tirer la chasse et basta. J’ai envie de les déchirer de les envoyer couler dans le trou des cabinets, seulement je ne sais pas encore découper le fond de son foutu écran.
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