dimanche, novembre 19, 2006

Guy Darol le mariol sur son blog a encore frappé fort le Bartos. Mariez les et que le Franckos nous débarasse le plancher !


Cette fois, c’est mon aminche Gouingouin qui est sorti de son frigigo où il squatte les surgelés en suçant ses esquimaux aux crevettes dans la cuisine du Bartos.
Pour la petite histoire, un jour j’accompagnais le Franckos à l’achat des produits glaglas. Le zigue mange beaucoup de poiscailles et dérivés algués et iodés. Il plonge la main dans un bac et ressort un paquet de fruits de la mer cueillis à la fraîche. Et, c’est là que je l’aperçois pour la première fois. Un pingouin hilare qui me cligne un œil vicelard. Vous me connaissez, j’accroche à ses propositions d’autant qu’à cette époque je n’avais encore jamais tâté du manchot et qui ne dit mot con sent. Je me dis dans mon for intérieur bousculé à l’embouchure : ben tiens, toutes les expériences sont bonnes à se farcir des petits plaisirs. Et si on ramenait le pingouin à la casba !
J’en cause avec le Bartos qui venait juste de lire le roman d’un littérateur ukrainien qu’il avait adoré et tilt l’extra balle à nous deux, on va libérer la bête de l’hiver sous les yeux et à la barbe des cerbères du magasin. Et c’est depuis ce jour là que Goingoin loge à la maison. Il ne sort de son antre chauffé à blanc que dans de rares moments d’égarements hivernaux, d’autant que le Bartos se chauffe aux poils à bois et ça crame dans sa cahute.

Alors, pour en revenir à l’interview du Bartos sur le blog de l’agitateur conseil, « l’écrivain jouasse », alias le Franckos, je t’en ficherai. C’est pas Guy le mariol qui se tape la présence du type à l’ordi qui noirçit ses feuillets jusqu’à ce que mort s’en suive. Faut freiner tes ardeurs mon pote, si tu kiffes kiffes grave pour le Bartos, demande-lui sa main pour la couper. Et vlan, au moins il ne pourra plus écrire ses inepties et il ne montera jamais plus sur sa tomo. Non mais sans dec, au nom d’une cacahuète désuète que je m’étais fourrée à la place du suppôt zizitoire, une fois en Belgique, un soir de carfard ! Et merde !

3 commentaires:

Michel Champendal a dit…

Sébastien le pingouin, tu connais la Singette ? Dans sa version André Bourvil chante pour les mominards, c'est quelque chose d'encore plus énorme que l'hénaurme.

la Singette a dit…

Sébastien,non désolé je suis Goingoin le pingouin et André Bourre la Ville, un Normand, je suppose qui se guinchait un p'tit bal du tonerre, mais c'est mon père qui l'a connu un peu. Moi j'étais pas né de la dernière glaciation. Mais bon on va pas se sucer un eskimo dans le berzingue, pas vrai la Singette pour une fois qu'il y a quéqu'un qui commente nos valeureuses aventures au pays des humanos et du Bartos !

la Singette a dit…

Hé Goingoin,

Tonnerre ça prend deux haines !
C'est pas par ce que tu sais pas voler qu'il faut te peler la graphie au glaçon du dico.
Non mais sans dec !