« C’est l’histoire d’un mec, Carl, qui écrit des bouquins chez lui. Il est flanqué de deux lardons et d’une donzelle pas piquée des hannetons qui ramène le blé à la maison. En vacances à la mer, la famille évolue avec sa propre personnalité : naturiste or not naturiste ? Telle est la question. Très tendance, en définitive, le concept de deux en un : qui de Carl et son double éponge du papier noirci ? Vous le saurez peut-être en lisant les aventures d’un pauvre type bien ordinaire qui perd la boule avec les dérivés à choix multiple d’une poule qui sera fatale à son épopée. On y rit, on y baise, on y pleure. La vie dans toute sa splendeur, sauf qu’à la fin… on ne reste pas sur sa faim !
Une écriture alerte vous laisse à tout le moins sur le flanc et vous boursoufle le marque-page à ne pas tomber en carafe d’une ligne. Comment qualifier un tel roman de valeureuse jeunesse ? Par un bouquet de concentration : la présence fait parfois penser à du Dard (Frédéric). Il comporte quelques accents rabelaisiens. Une pointe de John Kennedy Toole. Un ton marqué proche de temps à autre de Max Aub. Mais c’est unique. C’est fort, formidablement écrit avec un bruissement qui nous permet de rire, de nous émouvoir, de nous indigner. La vie avec le vit en prime. Ce roman ravira naturistes et libertaires, et ceux qui ne sont ni l’un ni l’autre. Car l’écrivain Franck dit Bart a l’œil et le bon ! Il ne faut jamais bouder son plaisir, surtout quand l’imaginaire fait des bises enflammées à l’exposé des faits. »
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Bonjour les conneries, mes amie(s) qui font fi du personnage incontournable de la Singette, moi la rayonnante et vibrante entité vivante et qui vous livre ses paraboles au formole !
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