
Le 8 novembre à Soulac, les opposants au Gaspard venus nombreux ont fait entendre de la voix malgré l’aréopage du port autonome de Bordeaux qui avait chargé la barque avec des dockers et un super tanker syndicaliste de la CGT. Cet homme de main a tenu la dragée haute le crachoir durant une bonne demi-heure. C’était toujours cela de pris sur le temps de parole des méchants mécréants contre l’avenir du progrès social.
Ce type vendu ou acheté suivant sa lecture du syndicalisme de service, ressemblait à ses homologues de la faucille vrille et qui marteau en tête se bagarrent pour que leur usine qui fabrique des armes continuent d’être cotée en bourse. Comme si, sans conscience et sans esprit critique développé, les femmes et les hommes devaient accepter tous les emplois les plus dégradants au nom du doit de travailler à la place de son voisin chômeur selon un système bien huilé et les humeurs de son patron joueur.
Quant à la réunion de clôture et synthèse du débat public, le 29 novembre au Palais des Congrès de Bordeaux avec un départ en car à 16 heures 30 depuis Saint-Vivien, le Franckos après une journée de dur labeur exténuante devant des mômes en furie n’a pu s’y rendre. Ah ! Parce qu’il bosse le Bartos !!! C’est nouveau, ça vient de sortir. Je suppose qu’il y a des personnes bien intentionnées qui doivent penser, de part la somme de textes à la con qu’il rédige, ça doit l’occuper toutes ses saintes journées. Et bé non. Il faut bien qu’il croûte, qu’il se déplace, qu’il loge dans sa forêt, qu’il achète ses cartouches d’encre et son foutu papier, qu’il pédale pour que tourne son ordi et la lumière fut. Sans compter sur mes doses de cacahuètes et mes bananes carabinées que je m’enfile morfale à la régalade, la malade.
En écho à la radio dans un bref flash, il a entendu le chœur des opposant déclamer « ON N’EN VEUT PAS » à chaque intervention des pourritures du Gaspard.
C’était chaud et c’était bon pour le moral.
Le couperet du verdict tombera la 15 mai 2008 au plus tard Gaspard…
Ce type vendu ou acheté suivant sa lecture du syndicalisme de service, ressemblait à ses homologues de la faucille vrille et qui marteau en tête se bagarrent pour que leur usine qui fabrique des armes continuent d’être cotée en bourse. Comme si, sans conscience et sans esprit critique développé, les femmes et les hommes devaient accepter tous les emplois les plus dégradants au nom du doit de travailler à la place de son voisin chômeur selon un système bien huilé et les humeurs de son patron joueur.
Quant à la réunion de clôture et synthèse du débat public, le 29 novembre au Palais des Congrès de Bordeaux avec un départ en car à 16 heures 30 depuis Saint-Vivien, le Franckos après une journée de dur labeur exténuante devant des mômes en furie n’a pu s’y rendre. Ah ! Parce qu’il bosse le Bartos !!! C’est nouveau, ça vient de sortir. Je suppose qu’il y a des personnes bien intentionnées qui doivent penser, de part la somme de textes à la con qu’il rédige, ça doit l’occuper toutes ses saintes journées. Et bé non. Il faut bien qu’il croûte, qu’il se déplace, qu’il loge dans sa forêt, qu’il achète ses cartouches d’encre et son foutu papier, qu’il pédale pour que tourne son ordi et la lumière fut. Sans compter sur mes doses de cacahuètes et mes bananes carabinées que je m’enfile morfale à la régalade, la malade.
En écho à la radio dans un bref flash, il a entendu le chœur des opposant déclamer « ON N’EN VEUT PAS » à chaque intervention des pourritures du Gaspard.
C’était chaud et c’était bon pour le moral.
Le couperet du verdict tombera la 15 mai 2008 au plus tard Gaspard…
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