



Oh l’autre, à peine installée dans la forêt au bord de la mer, qu’apprends-je Solange ? Un site industriel classé Sévéso 2 seuil haut pointe le bout de son gaz O duc via son usine de regazéification, sous couvert de tulipes du plat pays de monsieur Dick Annegarn que je cite de mémoire : "quand tu es assis sur une chaise, tu vois l’autre côté tellement c’est plat ".
Le fonds de pension amerloche, cet affameur a encore frappé ! Le commercial se ressert un verre à la santé des autochtones qu’il prend pour des tarés attardés, sous couvert de son aumône et des mômes à l’école (située à 800 mètre du terminal, passe ton bac d’abord) qui porteront le masque des gazés tout au long de l’année….
Et moi avec mon ami cucureuil, à 15 bornes de cette saloperie quand le vent du nord soufflera, « écoutez le chanter, le plat pays qui est le mien » (version flamande), je me snifferai le pif au signifié de sa torchère….
Pour faire passer la pilule, je me suis procurée le dossier du maître d’ouvrage qui est ni plus ni moins un texte de propagande, bonjour l’objectivité…. Mais, mais, que nenni mon petit, il existe soit disant un débat public orchestré à la baguette par Louis-Julien Sourd, ça ne s’invente pas, même le père Queneau n’y aurai pas pensé, pour sûr ! Vous imaginez ? Vous me connaissez, je me suis pointée à deux de ses réunions. Y’avait d’un côté quatre tulipes costard cravate qui récitaient leur prose à une assemblée pas du tout acquise. C’était gentil bon enfant. La presse locale a relayé ces évènements : « Un débat ardent mais correct » / « Ils ont vraiment réponse à tout » / « Le château d’eau de 40 mètres / « Dans le vif du sujet ce soir au Verdon » / « Le débat s’apaise » / « L’environnement a fait son débat » / « Louis-Julien Sourd : « il faut rester zen » / …. !
Ca baigne les teignes….
J’ai adhéré illico presto à l’association « Une pointe pour tous ». C’est moumou ramoulou côté Médoc (sans doute l’excellent pinard y est pour quelque chose !). Une seule manif un jour de semaine à Bordeaux en septembre avec des viocs bardés de leur écharpe tricolore ne représentant que leur pomme en campagne pour les prochaines municipales. Les tulipes se carambolent les pales. Heureusement que sur l’autre rive, ça se bouge avec l’argument massue à Royan : si vous construisez ce terminal méthanier, il ne restera aucun retraité ». Les papis font de la résistance Hortense. Encore heureux les aminches, aux armes citoyens…
Le Bartos a une collègue impliquée dans le réseau du refus, il lui a déjà proposé une grande manif des gens du pays des deux côtés des rives, un samedi ou un dimanche, avec toutes les forces vives. Vous imaginez les chasseurs, qui avec leur parti tirent dans les urnes et culminent avec des scores qui me houspillent les poils et me titillent la lutte armée animale pour la sauvegarde de mon pedigree !
A la capitale girondine de Bord’eau, à peine 150 ziguettes et zigues lors d’une réunion, une certaine Florence Torcheleman du sinistère de l’écologie a bourré le mou du public ébaubi. Je cite un article de Sud Ouest et l’argumentaire sommaire de la grossière : « La France est un gros consommateur d’énergie, qui tire certes 40 % de ses besoins de l’électricité du nucléaire mais aura besoin, demain encore plus qu’aujourd’hui, d’un gaz qu’elle ne produit pas ou plus et la Florence de l’offense : « Le gaz n’est sans doute pas la panacée environnementale mais il le est moins polluant des énergies fossiles ».
Respirez à plein poumon avec du persil dans les narines ou mieux encore du brocoli comme dans les dessins de Got mein Lieb. C’est la fatalité. Toujours plus consommer et avoir l’autonomie d’énergie. Mon cul sur la commode. Ton gaz je lui souffle dans les bronches et ton EPR du nucléaire, je n’en veux pas non plus. Toujours créer des besoins inutiles (pléonasme me diras-tu !) pour enrichir des nantis feignants qui s’enrichissent sur le dos d’esclaves, c’est le calcul futile !
Et puis si vous y regardez de près la cartographie du tendre que je vous propose, à la pointe du Médoc, les forêts poussent et repoussent le territoire à se chauffer au bois et puis le Phébus ne demande qu’à être capté sur les toits, alors basta toutes leurs saloperies et leurs baratins. Aux armes citoyens….
Au chapitre des affaires sont les affaires à ne jamais faire, mon cher Octave Mirbeau, je vous tiens au courant fin décembre lors de mon prochain retour bref à Paname.
Pour des infos : http://medocpourtous.org et contact@medocpourtous.org
Le fonds de pension amerloche, cet affameur a encore frappé ! Le commercial se ressert un verre à la santé des autochtones qu’il prend pour des tarés attardés, sous couvert de son aumône et des mômes à l’école (située à 800 mètre du terminal, passe ton bac d’abord) qui porteront le masque des gazés tout au long de l’année….
Et moi avec mon ami cucureuil, à 15 bornes de cette saloperie quand le vent du nord soufflera, « écoutez le chanter, le plat pays qui est le mien » (version flamande), je me snifferai le pif au signifié de sa torchère….
Pour faire passer la pilule, je me suis procurée le dossier du maître d’ouvrage qui est ni plus ni moins un texte de propagande, bonjour l’objectivité…. Mais, mais, que nenni mon petit, il existe soit disant un débat public orchestré à la baguette par Louis-Julien Sourd, ça ne s’invente pas, même le père Queneau n’y aurai pas pensé, pour sûr ! Vous imaginez ? Vous me connaissez, je me suis pointée à deux de ses réunions. Y’avait d’un côté quatre tulipes costard cravate qui récitaient leur prose à une assemblée pas du tout acquise. C’était gentil bon enfant. La presse locale a relayé ces évènements : « Un débat ardent mais correct » / « Ils ont vraiment réponse à tout » / « Le château d’eau de 40 mètres / « Dans le vif du sujet ce soir au Verdon » / « Le débat s’apaise » / « L’environnement a fait son débat » / « Louis-Julien Sourd : « il faut rester zen » / …. !
Ca baigne les teignes….
J’ai adhéré illico presto à l’association « Une pointe pour tous ». C’est moumou ramoulou côté Médoc (sans doute l’excellent pinard y est pour quelque chose !). Une seule manif un jour de semaine à Bordeaux en septembre avec des viocs bardés de leur écharpe tricolore ne représentant que leur pomme en campagne pour les prochaines municipales. Les tulipes se carambolent les pales. Heureusement que sur l’autre rive, ça se bouge avec l’argument massue à Royan : si vous construisez ce terminal méthanier, il ne restera aucun retraité ». Les papis font de la résistance Hortense. Encore heureux les aminches, aux armes citoyens…
Le Bartos a une collègue impliquée dans le réseau du refus, il lui a déjà proposé une grande manif des gens du pays des deux côtés des rives, un samedi ou un dimanche, avec toutes les forces vives. Vous imaginez les chasseurs, qui avec leur parti tirent dans les urnes et culminent avec des scores qui me houspillent les poils et me titillent la lutte armée animale pour la sauvegarde de mon pedigree !
A la capitale girondine de Bord’eau, à peine 150 ziguettes et zigues lors d’une réunion, une certaine Florence Torcheleman du sinistère de l’écologie a bourré le mou du public ébaubi. Je cite un article de Sud Ouest et l’argumentaire sommaire de la grossière : « La France est un gros consommateur d’énergie, qui tire certes 40 % de ses besoins de l’électricité du nucléaire mais aura besoin, demain encore plus qu’aujourd’hui, d’un gaz qu’elle ne produit pas ou plus et la Florence de l’offense : « Le gaz n’est sans doute pas la panacée environnementale mais il le est moins polluant des énergies fossiles ».
Respirez à plein poumon avec du persil dans les narines ou mieux encore du brocoli comme dans les dessins de Got mein Lieb. C’est la fatalité. Toujours plus consommer et avoir l’autonomie d’énergie. Mon cul sur la commode. Ton gaz je lui souffle dans les bronches et ton EPR du nucléaire, je n’en veux pas non plus. Toujours créer des besoins inutiles (pléonasme me diras-tu !) pour enrichir des nantis feignants qui s’enrichissent sur le dos d’esclaves, c’est le calcul futile !
Et puis si vous y regardez de près la cartographie du tendre que je vous propose, à la pointe du Médoc, les forêts poussent et repoussent le territoire à se chauffer au bois et puis le Phébus ne demande qu’à être capté sur les toits, alors basta toutes leurs saloperies et leurs baratins. Aux armes citoyens….
Au chapitre des affaires sont les affaires à ne jamais faire, mon cher Octave Mirbeau, je vous tiens au courant fin décembre lors de mon prochain retour bref à Paname.
Pour des infos : http://medocpourtous.org et contact@medocpourtous.org
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire