mercredi, mars 21, 2007

Ramon Pipin et ses musquetaires de la dérison


Faut vous dire, on a bien fait de s’arrêter en chemin. La lumière ça a du bon jambon, surtout quand elle swingue par la parole, avec des personnes toujours adeptes de la déconne sans jamais se prendre au sérieux. Les partoches multi instrumentales de Raymond, je défie quiconque de les lire et les jouer les doigts dans le nez.

Les aminches n’ont pas pris une ride les zamis ! Même si dixit une des trois mouillettes toujours alerte, qui ramenait sa tartine en évoquant à la vue des films de cette époque : j’était souple en ce temps là !

Ce concert, ce fut une ode au printemps en avance sur son temps, même qu’on en redemande, encore, que c’est bon, que c’est bon quand vous déshabillez le temps.

Un grand merci à toutes et tous pour cette soirée mémorable et mille excuses si je n’ai pas cité toutes les personnes présentes de la bande à ce très cher Ramon Pipin et à ses musqueterres de la dérision.

Sans décoder mes potos, pour les non initié(e)s, reportez-vous au coffret Odeurs, l’Intégrale / saison / 1979 / 1983, 4 cd, rien que cela ! Ben oui quoi !

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