
Faudrait pas abuser. Mais je sais pas moi, quand on ne me voit pas sur les photos c’est pas bon signe, c’est pas bon singe, je devrais dire, merde !
Certes il est bigleux le Bartos, il porte des cernes sous ses lorgnons, le Franckos pourri. Mais, c’est pas une raison d’abuser de son champignon de vision. Vous imaginez que ce type pilote une moto avec ce tout ce qui se passe dans sa caboche à tout bout de champ. Il est capable d’imaginer ce con à partir d’une silhouette (les femmes l’inspirent et moi j’expire), des situations où des personnages vont se greffer des vraies vies de tous les jours avec le piment nécessaire à ce que la routine éclabousse les pavés. Cocktail assuré.
C’est un espèce de vampire ce type. D’ailleurs c’est pas pour rien qu’il est attiré par les suceurs de sang, lui qui tombe dans les pommes à la vue de son propre raisiné. Il n’est pas à une contradiction près. En ce moment, depuis que son éditeur lui a fourni des fiches avec la lecture à propos de ses romans à retravailler à élaguer, il est bizarre. Il se replonge dans les miasmes de Bluty alias Dagmar son personnage, sa vampire préférée à qui il a donné la vie dans l’un de ces bouquins à la con. D’où aussi son enthousiasme quand il est rentré de l’expo « Le cinéma expressionniste allemand » à la cinémathèque de Paname, lorsque ses aminches du groupe « die Brücke » ont ouvert le bal de ce fabuleux mouvement qui l’inspire encore des soupires d’aise.
En attendant, gaffe à la marche le cave, il est pas net de la rétine et si c’était que la rétine, titine… !
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